Fluctuat nec mergitur
Qui es-tu infâme ? Traitre à la vie !
Où est le courage ?
Dans ta bouche, le venin,
Sur tes mains, le sang,
Dans ton cœur le froid glacial de l’outre-tombe.
Car tu es déjà mort
Et ceux qui te survivent t’exècrent.
La lâcheté pour étendard,
Tu entraines avec toi ceux que la vie réchauffait.
Mais l’heure de la séparation a sonnée
Car vos lieux de repos ne sont pas les mêmes.
A eux la beauté, la paix et la sérénité.
A toi l’enfer, les flammes et la tromperie des croyances des martyrs.
Tu es parti en lâche.
Vois comme on t’a trahi !