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Entre autres joies et petits bonheurs de la semaine, un billet posté par eric Emmanuel Schmitt sur sa page facebook a illuminé ma journée du 12 novembre 2013

Rendez-vous ici en date du 12 /11/13 donc !

J'étais déjà enchantée de pouvoir lui poser quelques questions via ma copinaute Stefiebo qui a eu la chance de l'interviewer. Regardez plutôt !


Du coup de nombreuses visites sur mon blog ( quelle pub!) avec des mots-clés de recherche aussi variés que "Eric Emmanuel Schmitt gay" ou encore "Eric Emmanuel Schmitt homo et chocolat" ! ah ah !


Merci Monsieur Schmitt pour vos romans , nouvelles, pièces qui nous enchantent. C'est à chaque fois un bonheur de vous lire. Je n'ai cependant pas de profil facebook et n'en aurai jamais, persuadée que je suis qu'une telle invention fait autant de bien que de mal ( ce que je constate chaque jour dans mon enseignement). Pour discuter avec vous j'aurais pu hésiter, ouvrir un compte, mais la raison l'emporte. Arg, foutue raison !

Un challenge dédié à vos récits fait désormais dire à mes copinautes que vous me collez à la peau ! Il faut dire que de découvertes en petites plaisirs de lecture , nous croyions avoir fait le tour de vos écrits. C'était sans compter sur votre capacité à nous surprendre et ce dernier roman , on ne peut plus suggestif, en a fait bondir plus d'un ! de quoi, de quoi ! Monsieur Schmitt donne dans l'érotique ? hihi !

Dans le billet consacré à ma lecture des Perroquets de la place d'Arezzo, j'ai souligné le lien entre vos oeuvres, les échos, les clins d'oeil. J'ai eu la sensation que ce roman fermait un cycle, présentait l'aboutissement d'une réflexion menée en amont dans vos précédents ouvrages. Ce qui me pousse à me demander ce que vous nous réservez pour la suite ( et oui je suis une dévoreuse jamais rassasiée !). Mais ce n'est pas pour tout de suite n'est-ce pas ?

Merci d'avoir quotidiennement une pensée pour les blogueurs qui vous suivent et apprécient votre générosité et votre simplicité.

                                                                                                Une fan de la première heure


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